Lutte
antivectorielle

illustration altopictus

Lutte antivectorielle (LAV) curative pour les départements

Depuis sa création, ALTOPICTUS réalise la lutte antivectorielle (LAV) curative pour les départements puis depuis 2020 pour l’ARS Occitanie, l’ARS Nouvelle-Aquitaine, l’ARS Bretagne et l’ARS Grand-Est, sur un territoire couvrant 32 départements dont 10 en partenariat avec des laboratoires publics (Public-Labos, Qualyse et Aveyron Labo). 

Cette mission de santé publique en 3 volets (surveillance, traitement de LAV et diagnostics entomologiques) a pour objectif d’empêcher la survenue d’une épidémie d’un pathogène transmis par les moustiques.

Plus de
400
enquêtes entomologiques
menées
traitement de lutte anti vectorielle

Nos missions de santé publique

La surveillance du moustique tigre permet de connaître la zone colonisée par ce vecteur et de mettre en œuvre des actions pour éliminer ou ralentir l’installation de l’espèce dans un site ou une région.

Cette surveillance est réalisée au moyen de pièges ou par l’identification des signalements effectués par les citoyens grâce à la plateforme signalement-moustique.anses.fr.

Des épidémies causées par le moustique tigre ont déjà eu lieu en Europe (chikungunya en Italie, 2007 et 2017). ALTOPICTUS intervient pour diminuer le risque de circulation des virus de la dengue, du chikungunya et du Zika dans les lieux fréquentés par un voyageur malade ou une personne contaminée localement par un moustique. ALTOPICTUS recherche la présence du moustique vecteur sur la zone, et le cas échéant effectue un traitement insecticide* nocturne dans un périmètre restreint autour du lieu fréquenté, afin d’éliminer les moustiques qui pourraient être infectés. Les habitants sont prévenus par courrier/affichage de ce traitement LAV au moins 24 heures avant sa réalisation.

* les traitements sont réalisés au moyen d’engins de pulvérisation véhiculés et portatifs pour diffuser un produit insecticide à base de pyréthrinoïde d’origine naturelle ou de synthèse.

ALTOPICTUS réalise des diagnostics entomologiques dans les établissements présentant un risque d’import/export international de moustiques vecteurs (ports, aéroports, sites d’importation de pneus usés) ou accueillant un public sensible (établissement de santé, etc.). 

Ces diagnostics évaluent la vulnérabilité du site et propose un plan de gestion du risque vectoriel aux gestionnaires.

2500 pièges installés
1500 signalements citoyens expertisés
300 enquêtes entomologiques menées
45 diagnostics de sites sensibles
4 départs épidémiques neutralisés

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